Seifer Almasy {Validé}

• Nom / Prénom : Almasy Seifer.
• Race : Humain.
• Rang souhaité : Je vous laisse vous en occuper Smile

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• Âge : La vingtaine, pratiquement.
• Monde de naissance : FFVIII.

• Classe : The warrior.
• Arme(s) :Gunblade dont le nom est Hypérion.

• Post RP :

Sous des aspects calmes à un tel point que c’en est intrigant peuvent être décelées des informations plus qu’inquiétantes. Non pas que la lueur maléfique endormie dans le monde propice de Dollet ne se soit finalement éveillée dans son entièreté, mais que le danger y soit aussi régulier que toute chose la plus ordinaire du monde. L’idéale face de cette dimension éprouvée, qu’elle soit fondée sur la négligence, le mépris, ou encore la colère, bien qu’assaillie de préjugés, est l’entrelacement entre les divers sentiments de bonheur. Jamais un homme ne se sentira à son aise en ce lieu intérieurement néfaste sans la perturbation de la solitude absolue que l’on mendie si souvent de par une envie dévorante de vivre. Vivre toujours plus, avancer sur la voie convoitée, et ce, jamais seul. Renoncer au pilier qui supporte l’appui éternel de son entourage sur soi-même signifie engendrer les conséquences de l’écroulement subit lorsque la lâcheté prend le dessus. Indéniable était donc la soif de pouvoir. C’est pourquoi, en contrepartie de l’obtention d’une force inébranlable, des sacrifices plus ou moins douloureux feront sans cesse surface lors des moments les plus difficiles de la vie. Par conséquent, cette pensée pourrait donner raison d’être à son comportement aussi intéressant.

Ne jamais relâcher son attention débordante vis-à-vis des pétales disposés sur la nappe sablée qui ancre la passion la plus profonde ressentie, bien qu’elle ne soit qu’éphémère… chaque pétale représentant les multiples différences ayant interféré dans la vie ordinaire et sans fin ni but de Seifer Almasy… un combattant dont les aspirations apeurent plus d'un. Une flamme aux éclats miroitant toute la puissance et la détermination qui sommeillaient en lui depuis plus de dix huit années complètes, maintenant. S’il fallait énumérer le nombre de fois où le débordement de son énergie contribuait à frôler sa perte, alors retirer les pétales flottant, d’une telle légèreté que l’abyssique vide enlaçant la plume de l’habile écrivain en serait surpassé, un à un, comporterait la fonction de compte à rebours de sa vie jusqu’à sa mort. Le fil du temps déjà écoulé en était l’irréfutable preuve.

Ne jamais suivre le vif passage du temps qui, sans cesse, piétinait chaque moment inoubliable, c’était en perspective la solution de facilité expliquant dans les moindres détails à quel point la fuite n’est pas toujours une marque de lâcheté. Fuir l’éboulement prévu et provoqué par la fin de la vie n’en est que l’opposé dans sa totalité. Si cette pensée survint, alors il ne fut jamais inenvisageable de croire en la croissance de sa propre puissance. Dévaster lieu sur lieu ne fait que briser l’éternel joyau renfermant la confiance que son propriétaire épie de lui-même. Poursuivre sa droite ascension vers le centre de son but, c’est l’unique alternative à viser. La seule chose que l’on peut offrir en échange de la victoire, c’est la mise en péril de sa propre vie… peu importe le prix, oui, mais… affronter le danger, au même prix que de s’affronter soi-même, est une incontestable preuve d’une certaine préférence à protéger ses proches. Cet unique fait en deviendrait de l’art, avec un peu de pratique et d’application.

Une légère brise faisait virevolter les mèches de Seifer, ne laissant pas filtrer les rayons de soleil à travers chaque reflet qui encadraient la profonde couleur dont était naturellement doté un jaune gracieux. Assis sur un banc prés de Delling City, les deux jambes croisées et le regard perdu, il regardait tranquillement les pétales de cerisiers portés par le vent tomber sur le sol. Pensif, sa tête était légèrement inclinée sur le côté, comme pour exprimer une lassitude inespérée. Il ne manquerait plus que des petits larbins s'amener afin de réduire son humeur au plus grand minimum possible, bien qu’il soit déjà nerveux, d’une résistance à l’oppression complètement dépravée, dépourvu du moindre éclat de jouissance apparent.

Rajin j'ai une mission pour toi...

Poussant un soupir entravé d’une impression de trop souvent vu, Seifer passa sa main dans ses cheveux d’un geste lent, démontrant toute la pompe de son ennui qui le dévastait de parts en parts. Si Squall avait été présent à l’heure actuelle, l’ambiance aurait eu un minimum de mouvement. Bien que méprisant sur tous les fronts, il l’aurait, avec un peu de chance, tiré de ses états d’esprit. Il valait mieux ne pas être pointilleux à ce sujet. Prenant appui sur ses genoux, il se leva lourdement, comme si des chaînes le retenaient au banc.

Tu te rappelles de ce que je t'avais dit y'a quelques temps, et bien j'aimerai que tu me ramène cette "chose" en mains propres...je déteste qu'on me déçoive et l'échec n'est pas envisageable comme tu le sais sans doute. Sur ce, tu peux y aller.