The God is awake

Dans cette grande et magnifique tour faite de millier de débris des villages environnent, tout au sommet, là où autrefois ce déroula un combat titanesque entre un Dieu et une dizaine d’hérétique. Dans cette immense salle, capable d’abriter une multitude de monstre et de créatures de toute espèce. Sur ce trône gigantesque qui a été conçu pour recevoir un Dieu. Oui là-dessus se trouvait maintenant une petite forme humanoïde de plusieurs couleurs, totalement inerte. Et cette forme se réveilla dans le plus grand sursaut.

« Haaaaaa ! Pitoyables rebelles je vais vous……. »

Et il se tut face au vide immense qui s’étendait devant lui. Tout était comme avant sa défaite, alors que le tour aurait dû se désagréger lors de sa mort, n’ayant plus de magie pour tenir en place. Mais le plus troublant pour l’ancien Dieu, c’est justement qu’il n’en était plus un.

« Que ? Où sont donc passé mes superbes pouvoirs, où est la magie ? Ha ses pitoyables rebelles, si je vous retrouve je vous jetterais en pâture à mon armée de monstre »

Kefka descendit de son trône et traversa la salle en un éclair pour se rendre à un espèce de balcon immense d’où il s’y tenait pour voir son pays et pour détruire les villages à l’aide de sa foudre divine.
Mais ce n’était plus le monde tel qu’il l’avait connu. Les mers, les fleuves et même les terres avaient changés, impossible de s’y retrouver, même pour lui.

« Mais où suis-je ? Et que s’est-il passé dans mon sommeil ? En tout cas je vais devoir retrouver la personne capable d’une telle chose, à son contact j’apprendrais sûrement plus et je pourrais restaurer mes pouvoirs et redevenir un Dieu tout puissant Mouahahahahahah ! »

Et sur un rire sinistre il s’éloigna, descendant de sa forteresse par les chemins habituels et finissant dans les cachots et dans les labos, les deux salles étant la même. Kefka y libéra ses monstres et ses créatures, car il se devait de partir et il fallait des Gardiens. De plus son arme fétiche se trouvait ici, un vieux bâton noueux alors inutile lorsqu’il était un Dieu, mais maintenant il en aurais besoin. Il pointa ensuite son arme sur les créatures des lieux et s’adressa à elle.

« Alors mes petits monstres ? La magie qui vous a été inoculé vous plait ? Prêt à reprendre du service dans ses lieux ? Et bien je vous les laisse ! »

Les monstres ne prirent possession des lieux que lorsque que le bouffon sortit de sa tour. Visiblement bien que n’étant plus un Dieu ses pouvoirs étaient toujours bien réels surtout face à de tels créatures stupide.
Son départ de sa forteresse ne passa pas inaperçu, déjà quelques rebelles en poste, qui avait eu la judicieuse idée de se poster ici après la réapparition de la tour, firent sonner l’alerte mais pas assez vite, déjà Kefka les réduisit en cendres avec plusieurs dizaines de petites boules de feu. Rien ne vaut un magnifique brasier pour fêter son retour à la vie.

« Haha ! Pathétiques humains, vous ne pouvez rien face à votre Dieu, ma résurrection montre que je suis un être divin ! »

Sautillant dans tous les sens et riant à gorge déployé, il ne vit pas un rebelle qui n’était pas avec les autres, la chance ou le sort l’avait fait partir juste avant l’attaque du clown, ainsi il put partir prévenir les forces alliés du retour du bouffon démoniaque. Mais la jubilé du clown fut de courte durée, il devait se remettre en route. Par chance ces idiots avaient amener avec eux quelques armures Magitek, malheureusement certaines venaient d’être détruire par le sort de Kefka, sauf une.
Kefka la pris, un voyage à pied serais exténuant, alors que l’utilisation de ces vieilles machines avec de pseudo pouvoir magiques faciliteraient ce voyage tout en étant confortablement installé.

« Mouahahah, mon retour est prêt, trembler rebelles, je suis de retour pour punir les hérétiques qui ont osé porter la ma…. »

Mais tout en parlant la machine se bloqua et Kefka, alors debout lors du début de sa tirade, s’écrasa lamentablement sur le sol dans un grand fracas.

« Je hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais,hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais, hais ces machines. Finalement je vais devoir continuer à pied, à nostalgie de ce temps où j’avais le pouvoir et où je pouvait allez n’importe où instantanément. Mais c’est pas un désert qui va me faire peur ! »

Kefka s’éloigna de la tour, et dans l’ombre de celle-ci, on pouvait deviner une autre ombre, mais elle rougeoyait, car contrairement à ses dires et ses pensées, Kefka n’était pas revenue à la vie de lui-même, une sombre et puissante force était à l’œuvre sans qu’il sans douta une seule seconde.